Jadis, nous étions dépossédés du choix. Pour nous protéger des pluies battantes de ce monde, nous étions condamnés à osciller entre le trop et le pas assez, entre la la dureté et l’effritement, entre la forteresse laminaire de pierre aveugle et le château de sable effondré de nos grèves enfantines.
Certes, le bois nous offrit sa force, sa croissance et la ronde chaleur d’une lumière redonnée que jamais nous n’oublierons. Nous sommes frères devant le ciel, de toujours et pour toujours.
Mais le bois plie et se meurt un jour, il n’est que trace passagère dans le grand temps des siècles.
Il nous est maintenant offert de pouvoir ressentir et bâtir autrement.
Avec son alliance de clarté et de force, l’éternité du cristal nous attend.
Il était temps.
Il est déjà temps.