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L’espace infini constellé des passions des hommes, à fleur de poitrine, à un souffle de vous…
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J’ai oublié le fleuve La lumière Me désaltère Malgré moi
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L’appel de la colline en un matin d’été ; Ce n’est pas d’eau Dont cette terre a soif Mais du nouveau langage des émotions
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La joie est pour moi ce combat que je mène chaque jour.Tantôt je suis l’homme qui désespère de chasser de son souffle les nuages infinis. Tantôt je suis le soleil. Tantôt soleil Tantôt nuage Tantôt la main Tantôt la page
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Et la Conscience demande : « où est ton point d’appui ? » Et la Conscience me dit : « tu t’enchaînes là-même où tu croyais te libérer » « pour fuir le bourreau, tu épouses son ombre »